Sans être l’issue inéluctable du mariage, le divorce est néanmoins de plus en plus présent et loin de l’image dramatique dominant il y a plusieurs années.
Il existe plusieurs formes de divorce, adaptées aux situations de chacun.
Subsistent certes le divorce par consentement mutuel et le classique divorce pour faute, mais sont également apparus le divorce pour altération définitive du lien conjugal (qui intervient notamment en cas de séparation des époux depuis au moins 2 ans), et le divorce accepté qui permet de ne pas soumettre au juge les raisons de cette séparation mais ses seules conséquences financières et relatives aux enfants.
Quelle que soit la procédure envisagée, et compte tenu des conséquences de celle-ci, le recours à l’Avocat en droit de la famille est obligatoire devant le Juge aux affaires familiales afin de s’assurer du respect des intérêts des époux.
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Doivent en effet être tranchées des questions aussi importantes que le nom (qui peut être conservé sous certaines conditions), l’éventuelle prestation compensatoire, le partage des biens, mais aussi des dettes.
L’un des points cruciaux du divorce reste celui des conséquences de celui-ci sur des enfants communs. En cas de séparation hors mariage, vous pouvez tout de même faire appel à un avocat.
Si l’autorité parentale continue à s’exercer de manière conjointe, le Juge doit fixer la résidence, le droit de visite et d’hébergement mais aussi la contribution à l’entretien et à l’éducation de l’enfant, communément appelée pension alimentaire.
Cette décision résulte soit d’un commun accord des parties, soit d’une décision du Juge, en cas de désaccord, prise en fonction des arguments de chacun et surtout de l’intérêt de l’enfant.
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